Punta Leona
Les plages de Punta Leona sur la côte Pacifique sont souvent mentionnées avec éloge par les touristes. Et comme aujourd'hui il fait beau, il fait chaud et que c'est samedi, nous allons nous en rendre compte par nous-mêmes ! Un petit arrêt à Orotina pour prendre de délicieuses mangues (les prix ont encore baissé : 1000 colones (2$) les trois kilos). Et nous filons direction Jaco.
Avant Jaco, sur la droite, une grande entrée (payante) annonce "Punta Leona". Il ne faut pas prendre là mais plus loin à 500m à droite la piste publique qui donne accès gratuitement à la plage.
Signalons au passage qu'au Costa-Rica, légalement, les plages privées n'existent pas. Ca n'empêche pas certains propriétaires en bord de mer de faire leur maximum pour en empêcher l'accès. Dans ce sens, le complexe hôtelier et résidentiel de Punta Léona est une vrai caricature d'enclos nord-américain ; les copropriétaires des lieux n'ont cédé le droit de passage qu'à contrecoeur. Chaque fois que la piste (publique) arrive à un carrefour, un garde en uniforme veille à ce qu'on ne s'égare pas à droite ou à gauche dans les routes privées. Hallucinant !
Nous finissons par accéder à la plage, Playa Mantas, qui effectivement est superbe. Une anse de sable baignée par une mer calme et chaude, des amandiers et des cocotiers. Que demande le peuple ? C'est tellement calme que pour une fois, nous pouvons nager et faire quelques longueurs.
Playa Mantas
Paul dans son élément : faire le singe !
Punta Leona est la pointe rocheuse qui sépare Playa Mantas de Playa Blanca. Nous longeons la côte pour accéder à cette dernière. C'est une belle plage de sable blanc avec une mer turquoise, un peu gâchée par les algues abondantes. C'est beau mais trop urbanisé à notre goût (sans être la Côte d'Azur, ce n'en est pas loin). En plus, il y a foule, au moins cinquante personnes, on n'est plus habitués !
Punta Leona
Playa Blanca
Affamés, nous quittons Punta Leona pour aller manger à Jaco. Au passage, nous admirons un énorme Ceibo de 400 ans. Les arbres de cette taille deviennnent rares.
Jaco est de plus en plus notre plage préférée : on adore les rouleaux et ceux-ci sont réguliers et prévisibles. De plus, le sable est en pente très douce et on a pied longtemps, c'est parfait pour les enfants. Jouer avec les rouleaux est toujours aussi efficaces pour épuiser notre petit monde en un tourdemain, et c'est dans une voiture tranquilissime que nous rentrons à la maison.
A perfect day comme disent les anglais.
Avant Jaco, sur la droite, une grande entrée (payante) annonce "Punta Leona". Il ne faut pas prendre là mais plus loin à 500m à droite la piste publique qui donne accès gratuitement à la plage.
Signalons au passage qu'au Costa-Rica, légalement, les plages privées n'existent pas. Ca n'empêche pas certains propriétaires en bord de mer de faire leur maximum pour en empêcher l'accès. Dans ce sens, le complexe hôtelier et résidentiel de Punta Léona est une vrai caricature d'enclos nord-américain ; les copropriétaires des lieux n'ont cédé le droit de passage qu'à contrecoeur. Chaque fois que la piste (publique) arrive à un carrefour, un garde en uniforme veille à ce qu'on ne s'égare pas à droite ou à gauche dans les routes privées. Hallucinant !
Nous finissons par accéder à la plage, Playa Mantas, qui effectivement est superbe. Une anse de sable baignée par une mer calme et chaude, des amandiers et des cocotiers. Que demande le peuple ? C'est tellement calme que pour une fois, nous pouvons nager et faire quelques longueurs.
Playa MantasPaul dans son élément : faire le singe !Punta Leona est la pointe rocheuse qui sépare Playa Mantas de Playa Blanca. Nous longeons la côte pour accéder à cette dernière. C'est une belle plage de sable blanc avec une mer turquoise, un peu gâchée par les algues abondantes. C'est beau mais trop urbanisé à notre goût (sans être la Côte d'Azur, ce n'en est pas loin). En plus, il y a foule, au moins cinquante personnes, on n'est plus habitués !
Punta LeonaPlaya BlancaJaco est de plus en plus notre plage préférée : on adore les rouleaux et ceux-ci sont réguliers et prévisibles. De plus, le sable est en pente très douce et on a pied longtemps, c'est parfait pour les enfants. Jouer avec les rouleaux est toujours aussi efficaces pour épuiser notre petit monde en un tourdemain, et c'est dans une voiture tranquilissime que nous rentrons à la maison.
A perfect day comme disent les anglais.