La Vallée de San Isidro de El General
Après la chaleur du bord de mer, nous revenons vers les montagnes, après un petit crochet par Palmar Sur pour voir les étranges mégalithes sphériques qui ornent le parc. Mystérieuses sphéres de granit précolombiennes dont la finalité reste aussi mystérieuse que le mode de fabrication.

Nous remontons la vallée du Rio Grande de Terraba sur une panaméricaine en bon état et complètement déserte. Les paysages sont déserts et beaucoup plus arides que ce que nous avions imaginé. La route s'élève lentement et après une heure de route nous pénétrons dans d'immenses plantations d'ananas.


La terre est sèche et rouge, les ananas poussent au centre de plantes aux feuilles pointues et c'est l'époque de la cueillette : nous assistons au dur travail des ouvriers qui ramassent à la main ces champs immenses, en s'éfoçant de suivre une machine porteuse d'un tapis roulant.

Plus loin, nous passons à San Isidro et partons nous loger dans la fraîcheur des montagnes à San Gerardo de Rivas, au pied du Grand Chirripo (3819m).

C'est de là que partent les randonneurs qui en font l'ascension. La marche est hors de portée de nos enfants, malgré leur habitude de la montagne, et nous nous contentons paresseusement d'un bain dans les eaux chaudes d'une source thermale voisine.

Dodo au frais, sous une voûte étoilée magnifique que nulle pollution lumineuse ne vient gâter.
Jean-Mi

Nous remontons la vallée du Rio Grande de Terraba sur une panaméricaine en bon état et complètement déserte. Les paysages sont déserts et beaucoup plus arides que ce que nous avions imaginé. La route s'élève lentement et après une heure de route nous pénétrons dans d'immenses plantations d'ananas.


La terre est sèche et rouge, les ananas poussent au centre de plantes aux feuilles pointues et c'est l'époque de la cueillette : nous assistons au dur travail des ouvriers qui ramassent à la main ces champs immenses, en s'éfoçant de suivre une machine porteuse d'un tapis roulant.

Plus loin, nous passons à San Isidro et partons nous loger dans la fraîcheur des montagnes à San Gerardo de Rivas, au pied du Grand Chirripo (3819m).

C'est de là que partent les randonneurs qui en font l'ascension. La marche est hors de portée de nos enfants, malgré leur habitude de la montagne, et nous nous contentons paresseusement d'un bain dans les eaux chaudes d'une source thermale voisine.

Dodo au frais, sous une voûte étoilée magnifique que nulle pollution lumineuse ne vient gâter.
Jean-Mi