Camping à Playa Samara
Bonjour à tous !
Pour nous, les vacances continuent et nous revenons de passer deux jours à Playa Samara, sur la côte Pacifique, dans la Péninsule de Nicoya. Une fois n'est pas coutume, la route est excellente et c'est assez rapidement que nous faisons le trajet, trajet raccourci depuis la construction d'un grand pont offert gracieusement par Taïwan qui enjambe le fleuve Tempisque.

La péninsule de Nicoya subi une assez longue saison sèche, qui pour l'instant ne fait que commencer. L'activité principale, en dehors du tourisme, c'est l'élevage de zébus. C'est sympa de voir des zébus brouter dans des pâturages à l'ombre des palmiers : pas de doute, nous sommes loin de nos repères !

Sur place, la ville a une allure de station balnéaire de "chez nous" : il y a pas mal de constructions, pas mal de restaus et d'hôtels, et on sent que le "développement" (sic) de ce coin là est déjà bien avancé.
C'est un endroit prisé des ticos comme des touristes, l'ambiance est détendue et sympathique. Chose exceptionnelle pour le Costa-Rica, il y a du monde sur la plage. Mais tout est relatif, et même si nous sommes en pleine saison, ça n'a rien à voir avec La Grande Motte en juillet !
La plage forme une grande anse entourée de deux promontoires rocheux qui tombent presque à pic dans la mer. Superbe !
Nous plantons nos tentes dans un petit camping au bord de la mer et plouf !
Quoi dire de plus ? Nous passons deux jours de détente dans une eau à température parfaite, dans une mer tranquille où les rouleaux sont bénins et où le jeu de la marée découvre et recouvre une grande étendue de plage à chaque fois, prétexte pour bâtir d'éphémères chateaux de sables qui seront engloutis quelques heures plus tard...
Au petit matin, je vais marcher avec Paul jusqu'au bout de la plage, et nous voyons partir et revenir les pêcheurs locaux. Beaucoup vivent du tourisme et emmènent des passionnés taquiner de biens gros poissons.

A défaut de pêche au large, Paul qui avait amené sa canne à pêche et s'est entraîné au lancé. Quelle élégance !

Deux jours, c'est vite passé, mais avant de rentrer chez nous, nous faisons un petit tour par la plage voisine, distante de quelques kilomètres à peine, playa Carrillo. C'est une plage magnifique ! Du sable blanc, une mer turquoise, très peu de monde. Nous nous promettons d'y revenir à l'occasion d'un week-end.

La suite au prochain numéro.
Jean-Mi
Pour nous, les vacances continuent et nous revenons de passer deux jours à Playa Samara, sur la côte Pacifique, dans la Péninsule de Nicoya. Une fois n'est pas coutume, la route est excellente et c'est assez rapidement que nous faisons le trajet, trajet raccourci depuis la construction d'un grand pont offert gracieusement par Taïwan qui enjambe le fleuve Tempisque.

La péninsule de Nicoya subi une assez longue saison sèche, qui pour l'instant ne fait que commencer. L'activité principale, en dehors du tourisme, c'est l'élevage de zébus. C'est sympa de voir des zébus brouter dans des pâturages à l'ombre des palmiers : pas de doute, nous sommes loin de nos repères !

Sur place, la ville a une allure de station balnéaire de "chez nous" : il y a pas mal de constructions, pas mal de restaus et d'hôtels, et on sent que le "développement" (sic) de ce coin là est déjà bien avancé.
C'est un endroit prisé des ticos comme des touristes, l'ambiance est détendue et sympathique. Chose exceptionnelle pour le Costa-Rica, il y a du monde sur la plage. Mais tout est relatif, et même si nous sommes en pleine saison, ça n'a rien à voir avec La Grande Motte en juillet !

Nous plantons nos tentes dans un petit camping au bord de la mer et plouf !

Au petit matin, je vais marcher avec Paul jusqu'au bout de la plage, et nous voyons partir et revenir les pêcheurs locaux. Beaucoup vivent du tourisme et emmènent des passionnés taquiner de biens gros poissons.

A défaut de pêche au large, Paul qui avait amené sa canne à pêche et s'est entraîné au lancé. Quelle élégance !

Deux jours, c'est vite passé, mais avant de rentrer chez nous, nous faisons un petit tour par la plage voisine, distante de quelques kilomètres à peine, playa Carrillo. C'est une plage magnifique ! Du sable blanc, une mer turquoise, très peu de monde. Nous nous promettons d'y revenir à l'occasion d'un week-end.

La suite au prochain numéro.
Jean-Mi